Clin d’oeil furtif à l’Egérie libérale:
Archive for the ‘Liberté Chérie’ Category
Sabine Herold: Charme en Liberté
mars 1, 2007Liberté Chérie Aix-Marseille menacée par mails..
Mai 30, 2006Hat tip: Ronny Ktorza.
Les membres de ce comité ont chacun reçu un mail du type suivant:
> —————————- Message original —————————-
Objet: FW: Vue aérienne pagesjaunes : ************************** 13290
AIX EN PROVENCE De: « *************** »
Date: Mar 30 mai 2006 14:46
À: ronny.kortza@liberte-cherie.com
ronny.ktorza@liberte-cherie.com
————————————————————————–>>From: le comité local d’AL
>>Reply-To: ************@hotmail.fr
>>To:
>>CC:
>>Subject: Vue aérienne pagesjaunes : ********************* 13290 AIX
> EN PROVENCE
>>Date: Mon, 29 May 2006 19:13:16 +0200Bonjour,
le comité local d »AL [*********@hotmail.fr] vous a envoyé le lien
pour accéder à une vue aérienne sélectionnée sur pagesjaunes.fr, ***********************13290 AIX EN PROVENCE, accompagné d »un message
personnel.———————————————————————————
> on sait où
t »habites
———————————————————————————Pour accéder à cette vue aérienne, cliquez sur le lien suivant :
http://www.mappy.com/1/c/tbf/***************************Avec pagesjaunes.fr, Demandez c »est trouvé !
Ce message vous a été envoyé du site http://www.pagesjaunes.fr par
*********@hotmail.fr._________________________________________________________________
Retrouvez tout en un clin d’oeil avec la barre d’outil MSN Search !
http://desktop.msn.fr/
le tout envoyé à partir de la boïte mail du responsable local.
Hacking, menaces, vols, violences,.. voilà le quotidien du militant libéral..
EDIT: Nous avons même le nom des coupables: Alternative Libertaire Aix
Compte-Rendu de la Conférence de Jacques de Guénin (19 Avril 2006)
Mai 24, 2006Nous la préparions depuis des mois, elle était la principale action sur laquelle nous comptions pour nous faire connaître. La conférence que donnait Jacques de Guénin sur le thème « Oui, le libéralisme est social » fut un succès : pas moins d’une centaine de personnes étaient venus y’assister.
Jacques de Guénin, ancien cadre d’Exxon et de PSA est une figure du mouvement libéral en France depuis des années. Aujourd’hui membre actif de Liberté Chérie (où il siège au comité de direction), il préside le Cercle Frédéric Bastiat des Landes. A ce titre, il constituait un invité de marque.
L’exposé commença par un rappel pertinent de ce qu’était le libéralisme « avant tout une morale individuelle, ensuite une philosophie de la vie en société dérivée de cette morale, enfin seulement, une doctrine économique qui se déduit logiquement de cette morale et de cette philosophie. » et ses bases : la liberté et la responsabilité. Suivit une explication des mécanismes de l’économie dans une système libéral et en particulier l’échange : salaire contre travail, argent contre biens de consommation. Jacques de Guénin en profita pour aborder le problème de l’inégalité ( celle qui ressort d’échanges librement consentis opposée à l’inégalité née de la coercition, comme par exemple l’esclavage aboli par les libéraux au XIXeme siècle) et celui de l’offre et de la demande. Puis furent comparées les institutions sociales de la maison Peugeot Frère ( une caisse de retraite, deux sociétés de secours mutuels, deux sociétés d’appui mutuel en cas de décès, une caisse d’assurance contre les accidents, des logements ouvriers, trois écoles, deux cercles ouvriers, un hôpital) à celles de la Sécurité Sociale , inférieures, plus chères, moins bien gérées (mais Bastiat ne nous avait-il pas prévenu il y’a plus d’un siècle et demi ?) avant une exposition des avancées sociales dont les libéraux peuvent réclamer la paternité : les libertés syndicales, le droit de grève, l’abolition de l’esclavage… La morale libérale en accord avec ces avancées diffère, continua par expliquer Jacques de Guénin, de la morale socialiste, laquelle s’appuie sur l’Etat et la coercition, avec les conséquences que l’on connaît. Ainsi, la solidarité, la charité sont des vertus individuelles qui ne doivent pas découler d’une obligation. L’étude historique des sources de l’aide aux déshérités, montre qu’elle était plus importante, en pourcentage du niveau de vie moyen, lorsqu’elle était privée que depuis qu’elle est publique. Les politiciens, niant l’individu au nom de la société, se sont rendus complices de cette duplicité pour mieux asseoir leur pouvoir. Forts de valeurs morales (le respect des droits naturels, que l’on retrouve dans la Déclaration des Droits de l’Homme ou dans les Dix Commandements), les libéraux doivent reprendre le combat des idées, ce qui se pratique au sein de Liberté Chérie, comme le souligna Jacques de Guénin avec un clin d’œil à nos dernières actions. Le jeu des questions-réponses permit des débats intéressants que ce soit sur la concurrence, l’écologie, l’Education Nationale…
La soirée se conclut par un apéritif sympathique avec des membres de LC, des sympathisants, et bien entendu Jacques de Guénin et son épouse où nous discutâmes de sujets divers et variés.
Le comité Liberté Chérie Toulouse tient à remercier Jacques de Guénin et son épouse, l’ensemble du public et la mairie de Toulouse pour la salle.
Compte-rendu du rassemblement anti-blocage du dimanche 9 avril
Mai 24, 2006(avec du retard)
L’association Liberté Chérie organisait ce dimanche un rassemblement apolitique et bien entendu pacifique sur la Place du Capitole en vue de dénoncer les blocages autoritaires des universités toulousaines. Petit succès puisqu’une centaine de personnes nous ont rejointe, en particulier grâce aux tractages et au réseau développé sur internet.
Néanmoins, nous avons à déplorer encore une fois qu’une centaine de voyous ont bafoué notre liberté d’expression. Accompagnant leurs invectives habituelles au point d’en devenir insignifiantes de jets d’œufs, de farines, de tomates, de fruits, ces descendants spirituels des nervis mussoliniens ont tenté de nous intimider et ce devant les caméras de télévision.
Non contents d’occuper les établissements scolaires ou de bloquer la circulation, nos adversaires refusent de laisser le droit à leurs détracteurs de s’exprimer.
Plus grave, un groupe d’une trentaine de personnes a suivi un des manifestant anti-blocage qui avait « osé » filmer leur comportement pitoyable. Une fois à l’abri des regards indiscrets, ils l’ont encerclé, molesté puis ils se sont emparés de la caméra pour ensuite fuir courageusement!
L’association Liberté Chérie condamne fermement ces actes et reste plus que jamais déterminée à lutter pour la liberté que ce soit d’elle d’étudier librement sans avoir à souffrir des blocus soviétiques ou celle de manifester librement !
Les photos, passages télés et radio viendront bientôt.
Le nouveau site de Liberté Chérie est sorti aujour…
février 18, 2006Le nouveau site de Liberté Chérie est sorti aujourd’hui
c’est ici
novembre 27, 2005
Tractage de Liberté Chérie à la gare de Toulouse Matabiau..des réactions mitigées
Liberté Chérie Toulouse avait organisé un tractage lundi 21 novembre et mardi 22 pour protester contre la nouvelle prise en otage des usagers (dont on peut se demander si ils ne méritent pas l’appellation « client ») de la SNCF. Le tract proposait des solutions clairement libérales tant au problème de la SNCF que celui plus relatif au syndicalisme : privatisation de la SNCF, suppression du monopole de la représentativité syndicale, réforme du statut des syndicats.
Cette action a été bien relayée dans les médias locaux grâce au travail efficace de notre porte-parole Gaël Monin :
Une interview sur France 3 le vendredi 18, une interview avec la Dépêche du Midi parue lundi, une interview diffusée sur TLT le lundi ….. (les passages télés seront bientôt disponibles sur le site).
( Je précise qu’il s’agit de Gael Monin et non Gonin et que celui-ci n’est pas le président du comité mais le porte-parole.. )
L’opération a reçu un bon accueil de la part des usagers, heureux pour une fois que l’on s’intéresse un tantinet à eux, beaucoup étant mis en difficulté par les manœuvres électorales ( car il ne s’agissait ni plus ni moins d’une tentative de la CGT de damer le pion à SUD-Rail). Malheureusement, du fait de la grève, le trafic était limité et seuls 400 tracts ont pu être distribués par notre équipe : Claire, Gaël et moi-même.
Celait aurait pu constituer un tractage « parfait » si le terrorisme intellectuel de la gauche n’était qu’un mythe relégué à l’ère stalinienne.
Alors même que nous étions interviewés par la journaliste de la Dépêche, un groupe d’une vingtaine de « jeunes » nous a encerclés suite à un appel téléphonique d’une jeune fille quelques minutes plus tôt. Ils ont profité du souhait de la journaliste d’organiser un débat pour nous séparer, nous isoler et nous empêcher de distribuer nos tracts. J’ai personnellement été pris à partie par plusieurs de ces nervis dont certains se revendiquaient « cheminots » ou membres des « Jeunesses Communistes » qui ont habilement généré une bousculade dans le but de voler les tracts que je tenais à la main, tout ça sous l’œil de la journaliste…
De ce fait, nous avons été forcé à battre en retraite après avoir essuyé des menaces ( « Si vous revenez demain, on vous cassera la gueule ») et des insultes dont je retiendrais dans le worst of « C’est la France de Pétain ». Car oui, pour ces néo-obscurantistes, la défense des libertés individuelles relève du fascisme.
Un communiqué de presse a donc été adressé aux médias pour leur expliquer que notre opération de mardi a du être purement et simplement annulée.
Le ton de la journaliste peut surprendre quant à sa subjectivité et à son parti pris dans l’affaire. Arracher des tracts constitue-t-il une liberté ou au contraire une violation de celle-ci ?? Au passage, un ami l’a mailée pour s’étoner du ton de l’article et dans sa réponse, elle a osé écrire que nous étions contre le droit de grève. Belle conscience professionnelle.. Enfin, La Depêche peut au moins servir pour une chose: emballer les fanes de carottes.
On peut donc constater de visu la détermination inimaginable des voyous à faire taire toute contestation de leurs privilèges et toute personne ne partageant pas leur point de vue dépassé.
novembre 27, 2005
Tractage de Liberté Chérie à la gare de Toulouse Matabiau..des réactions mitigées
Liberté Chérie Toulouse avait organisé un tractage lundi 21 novembre et mardi 22 pour protester contre la nouvelle prise en otage des usagers (dont on peut se demander si ils ne méritent pas l’appellation « client ») de la SNCF. Le tract proposait des solutions clairement libérales tant au problème de la SNCF que celui plus relatif au syndicalisme : privatisation de la SNCF, suppression du monopole de la représentativité syndicale, réforme du statut des syndicats.
Cette action a été bien relayée dans les médias locaux grâce au travail efficace de notre porte-parole Gaël Monin :
Une interview sur France 3 le vendredi 18, une interview avec la Dépêche du Midi parue lundi, une interview diffusée sur TLT le lundi ….. (les passages télés seront bientôt disponibles sur le site).
( Je précise qu’il s’agit de Gael Monin et non Gonin et que celui-ci n’est pas le président du comité mais le porte-parole.. )
L’opération a reçu un bon accueil de la part des usagers, heureux pour une fois que l’on s’intéresse un tantinet à eux, beaucoup étant mis en difficulté par les manœuvres électorales ( car il ne s’agissait ni plus ni moins d’une tentative de la CGT de damer le pion à SUD-Rail). Malheureusement, du fait de la grève, le trafic était limité et seuls 400 tracts ont pu être distribués par notre équipe : Claire, Gaël et moi-même.
Celait aurait pu constituer un tractage « parfait » si le terrorisme intellectuel de la gauche n’était qu’un mythe relégué à l’ère stalinienne.
Alors même que nous étions interviewés par la journaliste de la Dépêche, un groupe d’une vingtaine de « jeunes » nous a encerclés suite à un appel téléphonique d’une jeune fille quelques minutes plus tôt. Ils ont profité du souhait de la journaliste d’organiser un débat pour nous séparer, nous isoler et nous empêcher de distribuer nos tracts. J’ai personnellement été pris à partie par plusieurs de ces nervis dont certains se revendiquaient « cheminots » ou membres des « Jeunesses Communistes » qui ont habilement généré une bousculade dans le but de voler les tracts que je tenais à la main, tout ça sous l’œil de la journaliste…
De ce fait, nous avons été forcé à battre en retraite après avoir essuyé des menaces ( « Si vous revenez demain, on vous cassera la gueule ») et des insultes dont je retiendrais dans le worst of « C’est la France de Pétain ». Car oui, pour ces néo-obscurantistes, la défense des libertés individuelles relève du fascisme.
Un communiqué de presse a donc été adressé aux médias pour leur expliquer que notre opération de mardi a du être purement et simplement annulée.
Le ton de la journaliste peut surprendre quant à sa subjectivité et à son parti pris dans l’affaire. Arracher des tracts constitue-t-il une liberté ou au contraire une violation de celle-ci ?? Au passage, un ami l’a mailée pour s’étoner du ton de l’article et dans sa réponse, elle a osé écrire que nous étions contre le droit de grève. Belle conscience professionnelle.. Enfin, La Depêche peut au moins servir pour une chose: emballer les fanes de carottes.
On peut donc constater de visu la détermination inimaginable des voyous à faire taire toute contestation de leurs privilèges et toute personne ne partageant pas leur point de vue dépassé.
novembre 27, 2005
Tractage de Liberté Chérie à la gare de Toulouse Matabiau..des réactions mitigées
Liberté Chérie Toulouse avait organisé un tractage lundi 21 novembre et mardi 22 pour protester contre la nouvelle prise en otage des usagers (dont on peut se demander si ils ne méritent pas l’appellation « client ») de la SNCF. Le tract proposait des solutions clairement libérales tant au problème de la SNCF que celui plus relatif au syndicalisme : privatisation de la SNCF, suppression du monopole de la représentativité syndicale, réforme du statut des syndicats.
Cette action a été bien relayée dans les médias locaux grâce au travail efficace de notre porte-parole Gaël Monin :
Une interview sur France 3 le vendredi 18, une interview avec la Dépêche du Midi parue lundi, une interview diffusée sur TLT le lundi ….. (les passages télés seront bientôt disponibles sur le site).
( Je précise qu’il s’agit de Gael Monin et non Gonin et que celui-ci n’est pas le président du comité mais le porte-parole.. )
L’opération a reçu un bon accueil de la part des usagers, heureux pour une fois que l’on s’intéresse un tantinet à eux, beaucoup étant mis en difficulté par les manœuvres électorales ( car il ne s’agissait ni plus ni moins d’une tentative de la CGT de damer le pion à SUD-Rail). Malheureusement, du fait de la grève, le trafic était limité et seuls 400 tracts ont pu être distribués par notre équipe : Claire, Gaël et moi-même.
Celait aurait pu constituer un tractage « parfait » si le terrorisme intellectuel de la gauche n’était qu’un mythe relégué à l’ère stalinienne.
Alors même que nous étions interviewés par la journaliste de la Dépêche, un groupe d’une vingtaine de « jeunes » nous a encerclés suite à un appel téléphonique d’une jeune fille quelques minutes plus tôt. Ils ont profité du souhait de la journaliste d’organiser un débat pour nous séparer, nous isoler et nous empêcher de distribuer nos tracts. J’ai personnellement été pris à partie par plusieurs de ces nervis dont certains se revendiquaient « cheminots » ou membres des « Jeunesses Communistes » qui ont habilement généré une bousculade dans le but de voler les tracts que je tenais à la main, tout ça sous l’œil de la journaliste…
De ce fait, nous avons été forcé à battre en retraite après avoir essuyé des menaces ( « Si vous revenez demain, on vous cassera la gueule ») et des insultes dont je retiendrais dans le worst of « C’est la France de Pétain ». Car oui, pour ces néo-obscurantistes, la défense des libertés individuelles relève du fascisme.
Un communiqué de presse a donc été adressé aux médias pour leur expliquer que notre opération de mardi a du être purement et simplement annulée.
Le ton de la journaliste peut surprendre quant à sa subjectivité et à son parti pris dans l’affaire. Arracher des tracts constitue-t-il une liberté ou au contraire une violation de celle-ci ?? Au passage, un ami l’a mailée pour s’étoner du ton de l’article et dans sa réponse, elle a osé écrire que nous étions contre le droit de grève. Belle conscience professionnelle.. Enfin, La Depêche peut au moins servir pour une chose: emballer les fanes de carottes.
On peut donc constater de visu la détermination inimaginable des voyous à faire taire toute contestation de leurs privilèges et toute personne ne partageant pas leur point de vue dépassé.
novembre 27, 2005
Tractage de Liberté Chérie à la gare de Toulouse Matabiau..des réactions mitigées
Liberté Chérie Toulouse avait organisé un tractage lundi 21 novembre et mardi 22 pour protester contre la nouvelle prise en otage des usagers (dont on peut se demander si ils ne méritent pas l’appellation « client ») de la SNCF. Le tract proposait des solutions clairement libérales tant au problème de la SNCF que celui plus relatif au syndicalisme : privatisation de la SNCF, suppression du monopole de la représentativité syndicale, réforme du statut des syndicats.
Cette action a été bien relayée dans les médias locaux grâce au travail efficace de notre porte-parole Gaël Monin :
Une interview sur France 3 le vendredi 18, une interview avec la Dépêche du Midi parue lundi, une interview diffusée sur TLT le lundi ….. (les passages télés seront bientôt disponibles sur le site).
( Je précise qu’il s’agit de Gael Monin et non Gonin et que celui-ci n’est pas le président du comité mais le porte-parole.. )
L’opération a reçu un bon accueil de la part des usagers, heureux pour une fois que l’on s’intéresse un tantinet à eux, beaucoup étant mis en difficulté par les manœuvres électorales ( car il ne s’agissait ni plus ni moins d’une tentative de la CGT de damer le pion à SUD-Rail). Malheureusement, du fait de la grève, le trafic était limité et seuls 400 tracts ont pu être distribués par notre équipe : Claire, Gaël et moi-même.
Celait aurait pu constituer un tractage « parfait » si le terrorisme intellectuel de la gauche n’était qu’un mythe relégué à l’ère stalinienne.
Alors même que nous étions interviewés par la journaliste de la Dépêche, un groupe d’une vingtaine de « jeunes » nous a encerclés suite à un appel téléphonique d’une jeune fille quelques minutes plus tôt. Ils ont profité du souhait de la journaliste d’organiser un débat pour nous séparer, nous isoler et nous empêcher de distribuer nos tracts. J’ai personnellement été pris à partie par plusieurs de ces nervis dont certains se revendiquaient « cheminots » ou membres des « Jeunesses Communistes » qui ont habilement généré une bousculade dans le but de voler les tracts que je tenais à la main, tout ça sous l’œil de la journaliste…
De ce fait, nous avons été forcé à battre en retraite après avoir essuyé des menaces ( « Si vous revenez demain, on vous cassera la gueule ») et des insultes dont je retiendrais dans le worst of « C’est la France de Pétain ». Car oui, pour ces néo-obscurantistes, la défense des libertés individuelles relève du fascisme.
Un communiqué de presse a donc été adressé aux médias pour leur expliquer que notre opération de mardi a du être purement et simplement annulée.
Le ton de la journaliste peut surprendre quant à sa subjectivité et à son parti pris dans l’affaire. Arracher des tracts constitue-t-il une liberté ou au contraire une violation de celle-ci ?? Au passage, un ami l’a mailée pour s’étoner du ton de l’article et dans sa réponse, elle a osé écrire que nous étions contre le droit de grève. Belle conscience professionnelle.. Enfin, La Depêche peut au moins servir pour une chose: emballer les fanes de carottes.
On peut donc constater de visu la détermination inimaginable des voyous à faire taire toute contestation de leurs privilèges et toute personne ne partageant pas leur point de vue dépassé.
Tractage de Liberté Chérie à la gare de Toulouse M…
novembre 27, 2005Tractage de Liberté Chérie à la gare de Toulouse Matabiau..des réactions mitigées
Liberté Chérie Toulouse avait organisé un tractage lundi 21 novembre et mardi 22 pour protester contre la nouvelle prise en otage des usagers (dont on peut se demander si ils ne méritent pas l’appellation « client ») de la SNCF. Le tract proposait des solutions clairement libérales tant au problème de la SNCF que celui plus relatif au syndicalisme : privatisation de la SNCF, suppression du monopole de la représentativité syndicale, réforme du statut des syndicats.
Cette action a été bien relayée dans les médias locaux grâce au travail efficace de notre porte-parole Gaël Monin :
Une interview sur France 3 le vendredi 18, une interview avec la Dépêche du Midi parue lundi, une interview diffusée sur TLT le lundi ….. (les passages télés seront bientôt disponibles sur le site).
( Je précise qu’il s’agit de Gael Monin et non Gonin et que celui-ci n’est pas le président du comité mais le porte-parole.. )
L’opération a reçu un bon accueil de la part des usagers, heureux pour une fois que l’on s’intéresse un tantinet à eux, beaucoup étant mis en difficulté par les manœuvres électorales ( car il ne s’agissait ni plus ni moins d’une tentative de la CGT de damer le pion à SUD-Rail). Malheureusement, du fait de la grève, le trafic était limité et seuls 400 tracts ont pu être distribués par notre équipe : Claire, Gaël et moi-même.
Celait aurait pu constituer un tractage « parfait » si le terrorisme intellectuel de la gauche n’était qu’un mythe relégué à l’ère stalinienne.
Alors même que nous étions interviewés par la journaliste de la Dépêche, un groupe d’une vingtaine de « jeunes » nous a encerclés suite à un appel téléphonique d’une jeune fille quelques minutes plus tôt. Ils ont profité du souhait de la journaliste d’organiser un débat pour nous séparer, nous isoler et nous empêcher de distribuer nos tracts. J’ai personnellement été pris à partie par plusieurs de ces nervis dont certains se revendiquaient « cheminots » ou membres des « Jeunesses Communistes » qui ont habilement généré une bousculade dans le but de voler les tracts que je tenais à la main, tout ça sous l’œil de la journaliste…
De ce fait, nous avons été forcé à battre en retraite après avoir essuyé des menaces ( « Si vous revenez demain, on vous cassera la gueule ») et des insultes dont je retiendrais dans le worst of « C’est la France de Pétain ». Car oui, pour ces néo-obscurantistes, la défense des libertés individuelles relève du fascisme.
Un communiqué de presse a donc été adressé aux médias pour leur expliquer que notre opération de mardi a du être purement et simplement annulée.
Le ton de la journaliste peut surprendre quant à sa subjectivité et à son parti pris dans l’affaire. Arracher des tracts constitue-t-il une liberté ou au contraire une violation de celle-ci ?? Au passage, un ami l’a mailée pour s’étoner du ton de l’article et dans sa réponse, elle a osé écrire que nous étions contre le droit de grève. Belle conscience professionnelle.. Enfin, La Depêche peut au moins servir pour une chose: emballer les fanes de carottes.
On peut donc constater de visu la détermination inimaginable des voyous à faire taire toute contestation de leurs privilèges et toute personne ne partageant pas leur point de vue dépassé.